9. oblivion

9. oblivion

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Château de l'Empéri

Piazzolla aurait eu 100 ans cette année.
« Oblivion » est donc un tango dont seul Piazzolla, natif argentin, a le secret.


L'œuvre traite musicalement du douloureux sentiment de l’oubli – « oblivion » étant le terme poétique en anglais désignant cette pénible réalité. Sans doute Piazzolla craignait-il que la riche tradition musicale de l’Argentine, au gré des crises qui ont bouleversé le sous-continent pendant le XXe siècle, ne s’étiole et ne s’efface un jour. Il y a fort à parier que, grâce à lui, ce moment n’est pas près d’arriver

Astor Piazzolla (1921-1992)
Extrait de la suite  Five Tango Sensations  
Escualo  

William Sabatier  (1974-  )
Extraits de la suite Les Hommes de Piaf  
- Depuis le coin de la rue là-bas d’après
L’accordéoniste (Michel Emer)
- Avec un Aigle sur le dos d’après
L’homme à la moto - Black Denim Trousers and Motorcycle Boots (Jerry Leiber & Mike Stoller)

Astor Piazzolla (1921-1992)
Oblivion

William Sabatier bandonéon
Oscar Bohórquez violon
Misako Akama violon
Joaquin Riquelme Garcia alto
Claudio Bohórquez violoncelle

Maurice Emmanuel (1862-1938)
Sonate opus 11 (1907)

Emmanuel Pahud flûte
Paul Meyer clarinette
Eric Le Sage piano

Anton Dvořak (1841-1904)
Quatuor en mi bémol majeur opus 87 

Gordan Nikolić violon
Joaquin Riquelme Garcia alto
Claudio Bohórquez violoncelle
Frank Braley piano